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Fête nationale du Canada
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Mémorial Canadien National de Vimy

Le 1er juillet. Une date historiquement symbolique pour nos courageux amis canadiens. C’est en effet le 1er juillet 1867 que le Canada devint une confédération indépendante du Royaume-Uni, quand quatre colonies britanniques s’allièrent pour former ce que nous connaissons aujourd’hui sous le nom de Canada. Prenons le temps d’en apprendre davantage sur l’histoire des guerres de cette grande nation où l’anglais et le français coexistent comme deux amants partageant la même passion. Nous devrions, tout d’abord, prendre en compte le fait que le Canada ne gagna véritablement son indépendance que le 11 décembre 1931, grâce à l’effort de guerre fourni par le Canada pendant la première guerre mondiale, en appui de l’empire britannique. La bataille la plus important à laquelle ils participèrent fut sans aucun doute celle de la crête de Vimy, qui a aboutit à une victoire des Canadiens là meme où les puissantes armées françaises et britanniques avaient été neutralisées par les défenses allemandes. Un mémorial, fait de pierre de Seget, un matériau très rare importé de Yougoslavie, fut érigé en mémoires des Canadiens qui firent don de leurs vies pour prendre cette position. La prise des tranchées de la crête de Vimy eut lieu au prix de 150,000 morts pour les forces franco-britanniques, et près de 3,600 pour les Canadiens.


Au début de la Seconde Guerre Mondiale, le Canada apparaissait comme un élément central pour l’approvisionnement d’armes, de nourriture, et même de pilotes pour les forces britanniques. C’est en effet dans ce grand pays que furent entraînés de nombreux pilotes de la RAF, et du reste du Commonwealth.

 

Sous-marin allemand U-190

130 000 aviateurs y furent ainsi formés. Le pays de l’hiver éternel a également démontré sa valeur au cours de la tragique Bataille de l’Atlantique, où la flotte canadienne fut continuellement confrontée aux agressions des sous-marins allemands, et ce, même dans ses propres eaux, jusqu’au fleuve Saint-Laurent. La Kriegsmarine avait même réussi à installer une station météorologique dans le Labrador, qui ne fut trouvée qu’en 1980 ! Une anecdote relativement peu connue de la plupart de gens relate comment le U-190 des eaux de la Terre-Neuve se rendit. L’équipage, suivant les instructions de Dönitz, se rapprocha des autorités canadiennes pour proposer sa reddition sans condition, comprenant la capture du sous-marin. Ils servit la flotte canadienne pour l’entraînement et fut renommé HMCS U-190 (Her Majesty's Canadian Ship). Dans une démonstration de force, le U-190 fut amené au point précis où le dernier navire canadien avait été coulé par des U-boots. Des bandes rouges et jaunes furent peintes sur le sous-marin capturé, qui était censé être coulé par les forces combinées de l’aviation aéronavale et de la marine canadienne - représentée par des destroyers. Malheureusement pour ces destroyers, il n’eurent pas le temps de lancer la moindre torpille qu’une roquette avait déjà gièvement touché le U-190, en conséquence de quoi celui-ci coula en moins de vingt minutes.

 

Le Canada est aussi la terre natale de nombreux héros au destin extraordinaire. Par exemple, Sydney Waltersfut un célèbre tankiste, considéré come l’As des As du ront occidental avec à son actif pas moins de 18 destructions de chars. Il fut récompensé du Distinguished Service Order et de la Military Cross. Il est toujours vivant aujourd’hui.


Léo Major, également un héros reconnu, réussit plusieurs performances surhumaines. Il rejoint l’armée en été 1940 et fut envoyé outre-mer en 1941 pour suivre un entraînement intensif qui dura trois ans. Il était spécialisé dans les opérations de commando et le repérage. Il parvint à capturer, avec l’aide d’un autre éclaireur canadien, un SdKfz 251/22, contenant les codes de communication allemands, le 6 juin 1944. Malheureusement, le 8 juin, il fut blessé par une grenade au phosphore, et perdit l’usage de son œil gauche, au cours d’une escarmouche entre Allemands et Canadiens. Ceci ne l’empêche pas de refuser sa révocation des forces armées, prétendant qu’il n’avait besoin que d’un œil pour utiliser son fusil, et qu’il avait ‘’un guerre à finir’’. En Hollande, en 1944, il parvint à capturer 93 soldats allemands à lui tout seul. Son dos fut brisé un peu plus tard dans l’année, quand son char Bren-Carrier roula sur une mine, tuant son conducteur et propulsant Major à plusieurs mètres de là. Mais comme auparavant, cela ne l’empêcha pas de se battre. Il quitta son régiment pour se cacher chez une famille néerlandaise, dans l’espoir d’éviter une nouvelle révocation, et revint un mois plus tard, complètement rétabli et prêt à se battre.

 

Léo Major

Il libéra également seul la ville de Zwolle, aux Pays-Bas, en avril 1945. Avec cet exploit, il devint le seul soldat à avoir libérer une ville à lui tout seul et reçut la Distinguished Conduct Medal pour cela. Il en reçut une seconde quand il captura, et tînt pendant trois jours, avec vingt soldats canadiens la colline 335, face à deux divisions chinoises, pendant la guerre de Corée.



Le Canada est la terre natale de nombreux héros, et nous les honorons aujourd’hui, A mari usque ad mare.

 

L'équipe War Thunder 

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